Entre l’été 2003 et le printemps 2004, Haïti sombre dans la violence suite à l’hostilité populaire envers le régime corrompu du président Jean-Bertrand Aristide. Après le départ forcé de ce dernier et une transition politique houleuse, les chefs de gangs prennent le pouvoir dans certaines zones et le pays s’enfonce encore plus dans le chaos. Un calme précaire revient en 2007 grâce notamment à l’ONU.